Le matin, je vais au travail.
Le matin, je roule dans la campagne.
Le matin, à travers les meurtrières qui me permettent de rouler en évitant le bas-côté et les autres usagers, je distingue le ciel normand.
Et il est souvent beau le ciel normand réveillé tant bien que mal. Parfois les bonnes conditions sont réunies : pas trop en retard et pas trop de circulation pour s'arrêter facilement.
Ce matin, à 7h50, le ciel normand était un peu surréaliste.
Connaissant la Normandie, les matins et les ciels vont s'assombrir dans les semaines à venir. Dommage, j'aimerais bien m'arrêter à l'entrée d'un champ tous les jours.
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