mercredi 14 décembre 2011

ô joie ! ô liesse !

You know what ?
I'm happy !

Je fais mon Droopy car content je suis.

Et pourquoi donc me demanderez-vous ? Éh bien parce que j'ai appris une bonne nouvelle aujourd'hui !

Un ami qui s'était fait discret depuis quelques années m'a contacté ce matin et je dois avouer avoir été surpris par cette "réapparition". Pour être honnête, on ne s'est jamais perdu de vue, ce sont juste les hasards de l'existence qui ont rendus nos contacts plus rares et peut-être un peu moins personnels à une époque.

Si par soucis de discrétion je ne révèlerai pas la nature de la bonne nouvelle dont il m'a fait part, je peux vous dire qu'elle signifie beaucoup. Pour lui d'abord, c'est indéniable, mais comme je viens de le dire je ne m'étendrai pas davantage sur sa vie personnelle. Pour moi ensuite parce qu'elle permet une lecture à plusieurs niveaux de choses qui ont de l'importance pour moi.

Parmi ces choses, il y a la famille. Famille "subie", qu'on n'a généralement pas choisie : nos parents et tous nos ascendants et collatéraux (j'ai récemment entamé ma généalogie, il faudra peut-être qu'on en reparle !). Et famille "provoquée" : conjoints et enfants. Pour les enfants ce n'est encore qu'à moitié possible, j'entends par là qu'il n'est aujourd'hui pas question de les commander sur catalogue comme des voitures mais qu'on peut décider comment les accompagner dans la vie. Un peu en marge de cette famille choisie ou presque, je place l'amitié.
Deuxième de ces choses qui me tiennent à coeur, pas encore tout à fait famille mais plus que simple relation. Je ne chanterai pas le refrain "ami d'un jour, ami toujours", parce qu'il me semble que j'ai passé l'âge de ce genre d'illusions (en réalité, il n'y a pas d'âge pour ça mais seulement des expériences qui passent...). En revanche, je suis tout content quand je remarque que certaines amitiés résistent à l'érosion alors même qu'on n'y aurait pas crû en observant leur évolution.
Alors voilà, ce sont bien deux bonnes nouvelles qui m'ont été apportées aujourd'hui : j'ai déjà dit que vous ne saurez rien de la première mais je peux expliquer un peu la deuxième. C'est que je m'aperçois avec la larme à l'oeil, car j'ai toujours aimé la mise en scène, que mes amis me sont fidèles malgré les années et la distance. Oui, je le dis sans honte : j'adore quand on m'aime !!!

A toi qui t'es reconnu depuis longtemps, je voudrais faire un cadeau. Il n'est pas vraiment de circonstance mais je suis sûr que tu vas l'apprécier, et surtout je pense que tu pourras un jour le transmettre à tes enfants...


3 commentaires:

Anonyme a dit…

:-)))) merchi mon coupaing !

levons le doigt et reclamons des explications...

Au hasard:
Monsieur, j'ai pas compris pourquoi le petit nerveux c'est encore le président ?

(en passant)...

Bises

Les Piroud a dit…

Ce n'était donc pas moi...zut!!
Tant pis, une prochaine fois. Pour cela, il faut que je pense à une bonne nouvelle à t'annoncer...
Je réfléchis et je t'appelle :)
Des bisous mahorais

E. (fait semblant de conserver un peu d'anonymat !) a dit…

La double bonne nouvelle du copain se porte à merveille !..
Tu peux continuer à envoyer des bisous comoriens, ce sont déjà d'excellentes news ;-)